Un membre des Tomahawk assassiné

Seb from Tomahawk sound system was touring south America with the South Side Crew (kernel panic, beat fusion, dropin posse). Last mondey they had a tire puncture on the bus and so they all had to stop. After taking the tire off, 3 of them went with a truck to try and find a new one. Seb wit his baby and his girlfriend were in the car ready to go to Sao Paolo to pick up a friend, as soon as they started they were approached by two guys who first of all shot Seb and then pointed the gun to an Italian girl from kernel panic. They tried to get in the bus but everyone was panicking and they run away. The girl survived barely but unfortunately seb died on the way to the hospital. Marwin, his 3 years old son, is clearly under shock for having witnessed the whole ordeal. They now need 5000 euros to bring seb back home in france. A lot of benefit parties will be organized all over the world...

South Side Crew have lost a brother in a hijacking on the Rio-Sao Paolo, he will not however be forgotten.

Thanks to support them in this difficult situation.

Shockraver

On 3/22/07, Ben Lagren <benlagren@gmail.com> wrote:

Un membre du Sound System SouthCrew tue au Bresil... RIP

www.flickr.com/photos/manormouse/426817252/

news.google.fr/news?hl=fr&ned=fr&...rche+Actualit%C3%A9s


Série noire pour les Français engagés dans l'action sociale à Rio

L'assassinat d'un musicien lundi à Rio de Janeiro porte à quatre le nombre de Français engagés dans des actions sociales tués en moins d'un mois, ce qui illustre la banalisation croissante de la violence dans la ville phare du tourisme au Brésil.
Sebastien Emmanuel Jérôme Gressez, 28 ans, a été tué devant sa femme et leur enfant de trois ans lors d'une attaque à main armée dans la périphérie de Rio. Il faisait une tournée au Brésil depuis six mois avec un groupe de quinze musiciens européens, South Side. Le groupe qui se produisait gratuitement dans des communautés pauvres se rendait en caravane - une jeep, un camion et un car - à Sao Paulo. Il a été attaqué par deux malfaiteurs à moto, alors que leur car était immobilisé par une crevaison à la sortie de Rio. Gressez, à bord de la jeep, a reçu une balle près de l'aisselle droite. Hospitalisé, il a succombé à ses blessures. "Il est mort pour rien. Il n'a pas réagi. Il avait déjà donné son portable (aux voleurs) mais ils sont revenus pour tirer. Ils l'ont tué pour rien. Nous ne savons que faire maintenant. Nous voulons que justice soit faite", a déclaré à la télévision Globo News un membre du groupe. Le consulat de France à Rio a annoncé mardi dans un communiqué avoir "pris connaissance avec une profonde émotion de ce tragique événement" et a assuré que toutes les mesures étaient prises pour résoudre cette affaire. Le gouverneur de Rio, Sergio Cabral, soucieux de rassurer les touristes, a affirmé mardi que la "police allait arrêter aujourd'hui même les assassins". "C'est le plus important. Il faut être solidaire de la famille et augmenter la surveillance policière dans les rues", a-t-il ajouté. L'un des deux assassins, un homme de 27 ans déjà fiché par la police, a été reconnu sur une photographie par les musiciens. Il y a trois semaines, trois Français, Delphine Douyère, 36 ans, Christian Doupes, 42 ans, et Jérôme Faure, 38 ans, animateurs de l'ONG d'aide aux favelas Terr'Ativa, avaient été tués à coups de couteaux à Copacabana par trois hommes, arrêtés le jour même. L'organisateur de la tuerie, Tarsio Wilson Ramires, 25 ans, avait été pris en charge par Terr'Ativa au sein d'une favela alors qu'il était encore un adolescent. Il était ensuite devenu un collaborateur permanent de l'organisation.
Depuis début février, la violence à Rio, souvent provoquée par des affrontements entre trafiquants de drogue et policiers ou entre bandes rivales de trafiquants, a fait 406 morts, dont 30 policiers, selon le site internet Rio Body Count, qui comptabilise les victimes à partir d'informations de presse. Les spécialistes soulignent que la violence se banalise malgré le renforcement du dispositif de répression avec le déploiement récent aux frontières de l'Etat d'agents de la Force Nationale de Sécurité, une unité d'élite.
Début mars, le président Lula a affirmé que la violence est "souvent une question de survie" et représente un problème "sans solution immédiate". Selon lui, les problèmes sociaux à l'origine de la violence "sont le résultat de décennies de politiques économiques qui n'ont pas eu les résultats escomptés". Samedi, un mouvement contre la violence, "Rio de la Paix", a planté 700 croix noires sur la plage de Copacabana afin d'attirer l'attention de la population.
"Ce cimetière représente toutes les personnes tuées à Rio depuis le début de l'année", a expliqué le théologien Antonio Carlos Costa qui dirige cette organisation non gouvernementale.

soutenez en klikan ici

lafiorentina.free.fr/infoparty.htm

ou

users2.smartgb.com/g/g.php/?a=s&i=g23-02283-8e

Rip

a merde

Ca crain.... r.e.p














petite parenthéses :
Le Brésil est vraiment représentatif du resultat d'un pays qui évolue dans le libéralisme. Ca a créer un fossé social ENORME. riche : extrémement riche et pauvre : extrémement pauvre.

Pour moi tout les pays industrialisés, riches, et qui penche a fond vers le libéralisme se dirige tout droit vers ce schéma là.

C'est triste.